tract_fr_22

Sanctionnons les wokophobes !
Nous assistons à une augmentation de paroles inappropriées, scandaleuses, déshonorantes, contraires à l'éthique…

Il n’est plus acceptable que des individus émettent publiquement des positions transphobes, islamophobes, blasphématoires, wokophobes...

Les condamnation à des stage de bonne conduite ou des amendes sont nettement insuffisantes.

Pour mettre fin à ce climat réactionnaire, il y a lieu de mettre en place des sanctions pénales nettement plus sévères telles la réhabilitation de la cangue ou du pilori et à l’indignité publique qui les accompagnent.

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Argumentaire scientifique

La montée des discours anti-woke : pour une répression pénale plus ferme. Notre société est confrontée à une montée inquiétante des discours de haine, qui se propagent à une vitesse vertigineuse sur les réseaux sociaux et dans l’espace public. Ces propos transphobes, islamophobes, blasphématoires,... Bref wokophobes, sont particulièrement violents et discriminatoires vis à vis des victimes. Et, hélas, la cancel culture mise en oeuvre par les plus éveillés s'avère inopérante. Face à cette situation, les questions de la qualification juridique et de la répression pénale se posent avec une acuité nouvelle. Si les condamnations à des stages de sensibilisation ou à des amendes peuvent constituer un premier pas, elles apparaissent aujourd’hui insuffisantes pour endiguer ce fléau. De nombreux observateurs estiment qu’il est urgent de renforcer les sanctions pénales à l’encontre des auteurs de ces discours de haine.

Les limites des sanctions actuelles Les sanctions administratives, telles que les retraits de mots de passe ou les fermetures de comptes sur les réseaux sociaux, ont certes un effet dissuasif, mais elles ne s’attaquent pas aux racines du problème. De même, les stages de sensibilisation, bien que louables dans leur principe, ne suffisent pas à modifier les convictions profondes des individus. Quant aux amendes, elles peuvent être perçues comme une simple contravention financière par certains auteurs de discours de haine, qui peuvent disposer de moyens financiers importants.

Le besoin d’une répression pénale renforcée Pour lutter efficacement contre ces discours de haine, il est nécessaire de renforcer le cadre pénal existant. Plusieurs pistes peuvent être envisagées :

  • Élargir le champ d’application des infractions Les lois actuelles ne couvrent pas tous les types de discours de haine. Il serait donc nécessaire d’élargir le champ d’application des infractions pour y inclure les propos incitant à la discrimination wokophobe qui s'avère parfois opaque.

  • Augmenter les peines encourues Les peines encourues pour les auteurs de ces discours doivent être suffisamment dissuasives pour décourager toute tentative de transgression. Dans notre société hyper narcissique, le recours à la cangue, au pilori et à l’indignité publique qui les accompagnent serait une première étape; des peines d’emprisonnement pourraient être envisagées pour les cas les plus graves.

  • Faciliter les poursuites Les procédures pénales pour ces affaires de discours de haine sont souvent longues et complexes. Pour faciliter les poursuites , il faudrait simplifier les procédures et renforcer les moyens mis à la disposition des autorités judiciaires. Ainsi par exemple, une police de la bienveillance veillerait à ce que la liberté d’expression s’exprime avec empathie et sanctionnerait tout écart dans le cadre de procédures accélérées.

Conclusion La montée des discours wokophobes constitue une menace grave pour la cohésion sociale. Si les sanctions administratives et les stages de sensibilisation peuvent jouer un rôle, il est nécessaire de renforcer le cadre pénal existant pour lutter efficacement contre ce fléau. Cette répression doit, bien évidemment, être accompagnée de mesures de prévention et de sensibilisation, tels les cours de bienveillance dès la maternelle, afin de construire une société plus inclusive et respectueuse des différences.

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